Le temps s’en moque
L’arbre s’admire sur la rive d’une vie. La rivière s’en moque.
Son reflet se mire au bord d’un rêve. La rivière s’en moque.
6 commentaires »
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En Vrac & sans Trac 
Mais sans l’arbre pour se mirer dans la rivière, la rivière ne serait pas si belle…
Ainsi chaque élément est intimement lié à l’existence de l’autre pour s’accomplir pleinement
Rép. :
Vrai, pour les êtres et les « choses ». Et… vital.
Mais, « On ne se baigne jamais dans le même fleuve ». La rivière s’écoule, les saisons fatiguent les arbres… et le temps s’en moque.
Vaste débat que ce temps qui passe. Pour aller où ? Pour aller quand ?
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Pour Baramine
J’avais pensé représenter le temps par la rivière (son mouvement) ; mais il vrai qu’en elle-même la rivière existe et que sa beauté dépend… des arbres qui s’y mirent (dans ce monde ou dans celui des rêves).
Et la beauté d’un instant est éternité. Merci
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l’arbre griffe la terre de ses racines..
la nuit mord du jour ses rigueurs..
dispersion entre deux hémisphères…
juste un peu de déraison…
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de RichardB : c’est le clair-obscur, le temps contre-temps, là où tout est possible et… impossible.
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c’est la trouée de l’éclaircie…
c’estla rosée du matin..
c’est le noir devenu bleu.
c’est le rêve dispersion..
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il n’y a pas de règles…juste des mots pour le plaisir …pour le hasard, bouée jetée au fil de l’eau…fil de soi, mots à pas…page de trop…trop de maux…croire et marcher toujours droit…où conduisent ses pas…
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l’eau c’est la mouvance..
le coté jardin du miroir..
l’invitation au voyage…
le pré vert des écritoires..
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